⋄ Messages : 17 ⋄ Dataries : 30 ⋄ Age : ➸ 31 ans. ⋄ Statut civil : ➸ sous le Beskar, une chaine, une alliance. Myocarde esseulé, éteint. ⋄ Occupation : ➸ chasseuse de prime, mercenaire (Ge'tal Galaar) ⋄ Localisation : ➸ secteur Mandalore, généralement. ⋄ Avatar : odette annable. ⋄ Crédits : klss. ⋄ Dispo RP : | Histoire Maiev Vasara« You’ll just be one more scar » Identité Âge : Mille et une cicatrices dessinent trente-et-une années éclatées, fracassées. Planète d'origine : Mandalore la poussiéreuse, Mandalore l’oubliée. Si c’est là-bas que ses premiers cris ont été entendus, c’est sur Kalevala et ses déserts toxiques que l’humaine a grandi. Profession : Guerrière de l’ombre, chasseuse de prime à armure. L’allégeance ancrée : Ge’tal Galaar. Groupe : Hors la loi Localisation : Si elle n’est pas à vadrouiller à bord de son vaisseau, il est probable de la trouver dans le Secteur Mandalore ou généralement, dans la Bordure Extérieure. Statut civil et orientation : La mécanique du cœur s’est enrayé sous le Beskar. « Un Mandalorien ne ressent pas : il inflige. » lui a-t-on dit, une fois et depuis sa mort, cette phrase résonne dans son cervelet comme un holocron endommagé. Avant lui, les rares relations ont été de passage. Gente féminine ou masculine, elle n’a jamais été regardante. Caractère : Abrupte ➸ Distante ➸ Implacable ➸ Intrépide ➸ Farouche ➸ Loyale ➸ Nerveuse ➸ Pragmatique ➸ Résiliente ➸ Têtue ➸ Vindicative Elle voit, observe dans un silence certain. Jauge, juge, également. Bras croisés, sous son armure, les obsidiennes décortiquent mais les mots, eux, se font muets. Ne pas parler pour rien dire, ne parler que pour faire sens. Les mots justes, les mots qui tranchent ; Maiev ne sait pas faire la différence, usant parfois de trop d’honnêteté pour son propre bien. Forte tête, sa volonté est aussi immuable que l’alliage ferreux qui compose sa seconde peau. Cette même cage qui enserre le myocarde défaillant, silencieux ; elle résonne uniquement avec sa tête, le cœur étant laissé de côté un peu trop souvent. Faceclaim : Odette Annable Crédits : peartree
Hors la Loi ❈Quel rôle joue votre personnage dans ce groupe ? Heads will roll. ➸ Mercenaire (Chasseuse de prime), cette vocation est la continuité de sa formation. Traqueuse, chasseuse, elle vadrouille dans les quatre coins de l’espace pour trouver ces têtes infortunées mises à prix. Mort ou vif, les rotules éclatées ou non, il n’y a que Mandalore, le Ge’tal Galaar. ❈Que pense t-il de la nouvelle organisation politique de la galaxie ? Et des Hors la loi ? Mandalore. La guerre et le sang. L’histoire des Mandalorien s’est toujours dépeinte de manière écarlate. L’Ordre Jedi, les guerres civiles, clones, Sundari, c’est dans la violence et les terres abîmées que le peuple a toujours vécu. Probablement habituée à ce chaos, la politique qui n’a jamais su résoudre les conflits, c’est terre-à-terre et pessimiste que ses obsidiennes dévisagent la galaxie. Les Hors la loi ? Survivalistes ou cherchant à faire profit, Maiev ne comprend qu’une chose : l’Honneur avant tout. Histoire Mandalore la verte, Mandalore la sublime. Un temps, peut-être. Temps révolu, sans doute. C’est ainsi que la planète lui a été dépeint, sous ces dômes austères, les protégeant du terrain hostile de la Belle empoisonnée. L’histoire : les guerres, scissions, trahisons, ennemis... Le sang a coulé sur les terres inhospitalières. Celui de ses parents également. Trop jeune pour se souvenir, c’est un membre du même Clan, le frère de sa génitrice qui finit par l’adopter. À défaut de Mandalore et ses dômes, elle finit par découvrir Kalevala et ses déserts. Nouvelle localisation pour elle, la figure familiale ; le Clan nomade, sauvage dont ils font partie est las des conflits.
Pourtant, c’est depuis petite qu’on lui apprend l’art de la guerre, l’art du combat. Adoptée, rattachée comme une pièce rapportée, elle est élevée de la même manière qu’un jeune garçon. Et si le Clan se veut d’éviter les batailles, il reste néanmoins probable qu’il soit sollicité d’une manière ou d’une autre dans un futur conflit. Alors les poings, les armes, les années. Il y a aussi cette tare qu’on lui cache ; sensible à la Force, cela ne s’est pas ébruité. Elle-même l’ignore toujours. Il n’a jamais été bon d’évoquer les Jedi sur ces terres, alors c’est dans le silence et l’ignorance que ce secret s’est enterré. La discipline s’inscrit dans son cervelet, tout comme le respect. Le respect pour les valeurs mandaloriennes, le respect du code d’Honneur.
Treize ans, Verd’goten et ses épreuves. Treize ans. L’âge adulte. Certains gamins sont encore à pleurer dans les jupes de leur mère. Elle, elle a appris à se battre, à se défendre, à tuer. Pour qui ? Pour quoi ? Parce que c’est comme ça. Parce que cela fait des générations que c’est ainsi. Parce qu’il le faut : pour le Clan, pour Mandalore. Héritage lourd de sens, de larmes, de corps et de sang, l’armure s’y ajoute. Celle de sa génitrice, celle qui est partie trop tôt. Unique souvenir de cette dernière, la demoiselle a fini par l’aborder fièrement.
Hermétique quant à ce qui se trame dans la galaxie, l’Empire, les échos de la guerre parviennent sans pour autant que le Clan s’en inquiète. Les membres œuvrent à leur survie, la pérennité de Mandalore. Encore trop jeune, trop inexpérimenté sur le réel terrain, Maiev prend part à des missions de mercenariat accompagné de son mentor, d’autres guerriers prêts à en découdre. Se faire un nom, une réputation. Être envoyé au casse-pipe aussi.
Seize ans, l’âge d’être mariée et pourtant, le refus. Si aux yeux du Clan, elle est une adulte accomplie, elle est, pour elle, encore qu’une simple adolescente. Adolescente qui sait se montrer létale, certes, mais de là à s’engager auprès de quelqu’un qu’elle ne connait pas… Elle ne veut pas. Peut-être un peu fleur bleue, elle croit, espère qu’un jour le myocarde s’anime pour quelqu’un. L’oncle finit par céder devant sa forte tête, lui laissant gré d’échapper à ses chaînes sociales. Un jour, peut-être. Maintenant ? Non… Mais ironie du sort, peut-être. Sans doute, même : dix-huit mois après son tantrum interstellaire, le cœur s’éprend, réciproquement. Jeunesse insouciante, probablement.
Mhi solus tome, mhi solus dar'tome, mhi me'dinui an, mhi ba'juri verde… Les années ont continué à découler lentement, le savoir s’est lui aussi amassé. Pourtant et malheureusement, les erreurs se font encore, naturellement. Comme ce jour-là où, par inadvertance, inquiétude, elle a frôlé la mort. A manqué de se faire emporter par la Faucheuse. Le gantelet enserré sur le blaster, le doigt posé sur la gâchette, le casque épais masque la nervosité de ses traits, l’angoisse qui la ronge en le voyant mal en point. Habitué à opérer en duo, ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident arrive mais la gravité de son état attise les affres. L’altercation précédente lui avait passablement vrillé les tympans si bien que le sifflement singulier d’une roquette ne s’est pas fait entendre et ce n’est que trop tard qu’elle a remarqué le projectile. L’impact. Le blast. Soufflée par ce dernier, l’armure déjà bien endommagée encaisse les dégâts mais se retrouve à dévaler le dénivelé escarpé. Casque fendu, c’est avec une vision cassée et floutée qu’elle gît sur le sol. Conscience vacillante, douleur intenable qui irradie dans le corps entier, le souffle s’est perdu… L’armure, le corps est brisé mais l’esprit s’anime encore fébrilement : lui. C’est le seul mot, ou plutôt, la seule personne vers qui, ses pensées se tournent malgré le froid, la morsure, la paralysie, la noirceur... Récupérée, rafistolée, c’est avec une certaine amertume qu’elle a réparé son armure. Chanceuse dans sa malchance, elle s’en est sortie. Les cicatrices marqueront toujours son corps. Le myocarde, lui, s’est éteint.
Le temps fait son œuvre encore, la laissant panser ses blessures, tasser le vide de souvenirs éphémères, lointain. Fière lionne à présent esseulée, elle se fait sa réputation, son nom au sein des chasseurs de prime du Ge’tal Galaar et ce, en dépit des lois. Il le faut, pour perdurer, pour Mandalore. Pour qu’un jour, peut-être, cette dernière finisse par resplendir à nouveau, débarrassée de ses dômes, libérée de ses guerres. Pour oublier, aussi.
Anecdotes en vrac : Maiev est sensible à la Force mais elle l’ignore. Elle justifie ses bons réflexes avec ses années d’entrainement, sans réellement se poser de questions. ➸ Depuis petite, elle a été entrainée pour être une arme, pour être capable de se battre dans n’importe quelle condition, sur n’importe quel terrain, au corps à corps ou à distance. ➸ Si son armure en Beskar lui a permis d’éviter les balafres des plus insignifiantes, sa peau reste néanmoins zébrée de diverses cicatrices. Tatouages également. ➸ Une épaulette de son armure est une pièce rapportée ; celle d’un certain défunt. ➸ Si elle sait manier les armes, les poings ces mots, eux, manquent souvent de tact. Souvent trop franche et abrasive, elle est souvent jugée bourrue de ce côté-là. De plus, c’est une piètre menteuse. La vérité a tendance à lui échapper. ➸ Elle déteste les jet-packs préférant les voir encastré dans un mur plutôt que sur une armure. Derrière l'écran Derrière l'écran on m'appelle klss/lynn/Me*blblll* et j'ai AH ans. J'habite chez le père noël. J'ai trouvé le forum grâce à pour changer : So’Ra et j'ai eu envie de m'inscrire parce que ceybo, ceabril. Pour le RP je serai plutôt disponiblejicrois . Je crédite également schizophrenic & peartree pour les créations de ma fiche. En bref... badaboom |
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